Avis de décès de
Madame Christine DEBEURME-JOUVION Née DEBEURME

Publié le mercredi 31 juillet 2024
Mme Christine DEBEURME-JOUVION Née DEBEURME

Mme Christine DEBEURME-JOUVION Née DEBEURME

Née le 7 janvier 1952
Décédée le mercredi 31 juillet 2024 à l'âge de 72 ans
Domiciliée à Paris

Agence COLMAR
27 route de Neuf Brisach
68000 Colmar
Votre conseiller(e) :
03 89 24 10 56
colmar@pfdefrance.com
Envoyer des fleurs pour Mme Christine DEBEURME-JOUVION Née DEBEURME

Faites livrer des fleurs

Paiement en ligne 100% sécurisé
Faire livrer des fleurs
Planter un arbre en hommage à Mme Christine DEBEURME-JOUVION Née DEBEURME

Pour rendre hommage à Mme Christine DEBEURME-JOUVION Née DEBEURME, plantez un arbre en sa mémoire

Paiement en ligne 100% sécurisé
Plantation attestée par un certificat, envoyé par email et/ou par courrier
Hommage unique et durable
Planter un arbre hommage

Nous avons la tristesse de vous faire part du décès de

Madame Christine DEBEURME-JOUVION Née DEBEURME

survenu le mercredi 31 juillet 2024 à l'âge de 72 ans


Une cérémonie a été célébrée le mercredi 7 août 2024 à 10h00
Chambre Funéraire Centre Alsace
150 Rue du Ladhof - 68000 Colmar

La crémation a eu lieu le mercredi 7 août 2024 à 15h00
Crématorium de Mulhouse
55 Rue de Dinard - 68200 Mulhouse

Envoyer des fleurs pour Mme Christine DEBEURME-JOUVION Née DEBEURME

Faites livrer des fleurs

Paiement en ligne 100% sécurisé
Faire livrer des fleurs
Planter un arbre en hommage à Mme Christine DEBEURME-JOUVION Née DEBEURME

Pour rendre hommage à Mme Christine DEBEURME-JOUVION Née DEBEURME, plantez un arbre en sa mémoire

Paiement en ligne 100% sécurisé
Plantation attestée par un certificat, envoyé par email et/ou par courrier
Hommage unique et durable
Planter un arbre hommage

Messages de condoléances

  • après plusieurs essais d'appels téléphoniques j'ai commencé à comprendre que tu n'étais plus en état de répondre et je viens de découvrir un avis e décès qui semble correspondre. je suis vraiment triste de cette nouvelle, tu étais une personne formidable , mes pensées t'accompagnent dans ce long voyage..

    jean claude riant
    lundi 12 août 2024 à 19h23
  • Christine est partie comme elle a vécu ; sur la pointe des pieds. Elle ne voulait pas déranger. Mais elle a toujours été présente pour moi. Elle n'a cessé de m'apporter son amitié et son aide. En toutes circonstances et, peu importe, le projet ou l'histoire. Christine, c'était le don. Elle donnait, sans rien demander en retour. Mais Christine c'était aussi le don... artistique. Elle savait tout faire : photographie, dessin, peinture, sculpture... Et tout ça, l'air de rien, comme si cela allait de soi, comme si tout le monde pouvait en faire autant. Eh bien, non, Christine, tu avais du talent, des talents. Un monde bien à toi. Comme ces sculptures en papier. Elles me rendaient dingues, ces sculptures. Quand deux personnages étaient représentés, ils étaient ou de dos ou cote à cote. Lorsqu'ils étaient face à face, ils pouvaient aller l'un vers l'autre, être sur le point de s'embrasser mais jamais, dans aucune de tes sculptures, leurs lèvres ne se rejoignaient. Chaque fois, je te le faisais remarquer, et c'était devenu un sujet de plaisanterie. Le temps passant, d'autres sculptures voyaient le jour. On pouvait remarquer que les lèvres se rapprochaient de plus en plus mais le baiser tardait toujours à venir. Je t'incitais à franchir le cap. « Ce sera l'aboutissement de ton œuvre. Ton chef d'œuvre ! » Je plaisantais, comme on aimait le faire ensemble.
    Un jour, tu m'as annoncé avoir commencé celle où ils s'embrassent, au moins que ce ne soit moi qui t'ai dit : « cette sculpture-là, ils s'embrassent, d'accord ?! » Tu avais souris, et simplement acquiescée. Cette sculpture, tu l'as jamais fini. Tes mains te faisaient mal. Tu avais de l'arthrose déformante ; « c'est génétique ». L'eau et la colle dont tu te servais accentuées tes douleurs. Tu n'as plus jamais sculpté. Et les amants ne se sont jamais embrassés.
    Il y a longtemps, tu m'avais proposé de me donner une sculpture. Mais ce n'était jamais le bon moment. Elles étaient fragiles, et j'avais peur de l'esquinter dans les transports en commun. Avec l'arrivée de ta maladie, chaque fois que je venais à Paris, en te quittant, je me disais que c'était peut-être la dernière fois que je te voyais. En novembre dernier, je me suis jeté à l'eau (si ça devait être la dernière fois, je voulais au moins avoir un souvenir de toi) et t'ai reparlé de la sculpture. Tu m'as demandé de choisir parmi celles qui se trouvaient à l'atelier. Plusieurs m'attiraient mais l'une plus que les autres. En la prenant, tu avais tenu à me rassurer ; elles ont beau être en papier et en fil de fer, elles étaient résistantes. Joignant le geste à la parole, tu avais voulu m'en faire la démonstration en jetant « ma » sculpture en l'air afin que je constate qu'elle n'aurait rien en atterrissant au sol. Sans mettre ta parole en doute, je n'y tenais pas. Et tu avais fini par l'emballer. C'est de retour à mon bureau dans les Pyrénées que je libérais la sculpture du papier-bulles et découvris son titre : Au secours.
    Même sur la pointe des pieds, Christine, tu as marqué ma vie et tu n'es pas près de disparaître de ma mémoire.
    Je t'embrasse,
    Patrick

    Rufo Patrick
    mercredi 7 août 2024 à 03h04
  • La disparition de Christine crée un vide en nous. C'était une amie formidable, comme on rêve d'avoir, et que l'on chérit précieusement. Son rire communicatif et nos pauses vin blanc, clopes et à la fin limonade vont beaucoup me manquer. Avec toute mon affection.
    Je serais avec vous Ruth et Jean-Marc par la pensée

    Joyeux Marcelle
    mardi 6 août 2024 à 18h33
  • Je garderai toujours le souvenir de Christine avec sa longue tresse blonde et son ciré. Elle a lutté contre cette horrible maladie avec courage. Je présente mes condoléances à ses proches.

    chatelain
    lundi 5 août 2024 à 09h05
  • Pensées affectueuses pour Christine et condoléances sincères pour ses proches...Amicalement. Josée

    Roscop Josée
    dimanche 4 août 2024 à 19h36

Voir les messages de condoléances privés